Nos actions

Papiers de l’Espoir intervient aujourd’hui dans plusieurs pays où  elle soutient des projets éducatifs humanitaires. Chaque projet est suivi par un référent, membre actif de l’association.

Eduquer, c’est aussi enseigner la connaissance et la pratique des usages de la société.

Le seul objet de notre association est d’apporter une aide aux projets humanitaires en priorité éducatifs.

Nous apportons notre aide sur un maximum de projets compte tenu du budget dont nous disposons. La Commission Humanitaire est chargée de préparer les dossiers et de proposer au Conseil d’Administration les projets sur lesquels nous nous investissons et, ensuite, de contrôler la bonne utilisation des fonds alloués.

La politique d’aide humanitaire de l’association a été constante depuis sa création et répond à quelques principes développés ci-dessous.

1) Nos aides ne portent pas sur la construction de bâtiments.

Nous ne sommes pas capables d’être présents sur place pour assurer le contrôle de tes projets.

2) Nous n’envoyons jamais de biens vers les pays étrangers.

Nous n’envoyons que de l’argent, convaincus que c’est une aide plus efficace au développement économique local.

Dans la plupart des pays cet argent sert à :
La prise en charge des fournitures scolaires achetées sur place et distribuées en début d’année
L’achat de matériel scolaire, fabriqué sur place, comme les tables d’écoliers,
La fourniture de certains matériels ou outils pédagogiques comme des abonnements à Internet ou à des revues spécialisées pour les instituteurs
La prise en charge du salaire des instituteurs pendant certaines périodes
La prise en charge d’une partie des frais de cantine dans la mesure car nous nous sommes aperçus que, souvent, les jeunes écoliers viennent à l’école sans que leurs familles puissent les munir d’un repas pour midi.

En France, dans un pays où les besoins élémentaires d’éducation de la jeunesse sont maîtrisés, nous nous tournons résolument, en priorité, vers l’aide à des instituts ou associations en charge de jeunes handicapés et nous cherchons à leur apporter une aide ponctuelle sur des projets souvent originaux mais qu’ils ne peuvent mener à bien par manque de financement : voyage culturel, voyage dans le désert pour de jeunes aveugles, jeux éducatifs, création d’une section d’éducation maraîchère, etc..

3) Nous sommes, en général, en contact avec une association intermédiaire.

C’est cette association qui, elle-même, agit directement sur le terrain. Nous prenons le maximum de précautions pour nous assurer de la qualité de ces associations.

4) Nous voulons, auprès des associations intermédiaires, être un financeur ni trop important ni trop faible par rapport à l’ensemble du projet soutenu.

Une participation trop faible est l’indice d’un projet qui est pratiquement déjà majeur et n’a plus besoin de nous, une participation trop forte est dangereuse car le projet est alors directement soumis à nos propres conditions de survie et, de plus, les bénéficiaires risquent de se laisser aller à la facilité.

5) Nous désirons également que nos aides soient pérennes.

Nous voulons qu’elles soient pérennes mais sans avoir un caractère permanent.
Nous nous organisons afin de faire face à un engagement de plusieurs années. Mais, Papiers de l’Espoir porte une attention particulière à ce que les bénéficiaires oeuvrent à la mise en place de relais pour que, au bout des quelques années de notre aide, les projets deviennent financièrement indépendants.

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